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Fonctionnement du système actuel

Les grands principes du système de retraite en France sont :

  1. Obligatoire : Si vous travaillez, vous cotisez obligatoirement pour votre retraite.
  2. Solidaire : les « accidents » de la vie sont pris en compte pour le calcul de votre retraite (enfants, chômage, maladie, invalidité…)
  3. Contributif : lorsque vous travaillez, vous contribuez à votre retraite future. Le calcul de votre retraite sera effectué en fonction de vos cotisations
  4. Par répartition : le montant total des cotisations versées chaque année sert à payer les pensions des retraités actuels.

Pour en savoir plus : Comprendre la retraite pour les jeunes – YouTube

La retraite, une pyramide à 3 étages

En France, la retraite repose sur trois piliers :

  • les régimes de base légalement obligatoires,
  • les régimes complémentaires légalement obligatoires,
  • les formes d’épargne retraite, collective ou individuelle, facultatives.

Les régimes de retraite peuvent se répartir en 3 grandes catégories :

  • régime des salariés du privé (4 statuts professionnels, 6 organismes) ;
  • régime des non-salariés (14 statuts professionnels, 20 organismes) ;
  • régime du public et régimes spéciaux (12 statuts professionnels, 14 organismes).

Le régime de retraite auquel vous êtes affilié dépend de votre situation professionnelle: en fonction de votre parcours, vous pouvez dépendre successivement de plusieurs régimes différents (dans ce cas, vous cumulez les droits acquis dans chacun de ces régimes).

1. Le régime général obligatoire

Pour l’essentiel, les ressources des retraités français proviennent de régimes de retraite obligatoires, auquel ils sont affiliés automatiquement dès lors qu’ils travaillent. Les régimes obligatoires fonctionnent pour la plupart en répartition (les cotisations versées par les actifs financent les pensions des retraités).
Chaque mois, des cotisations retraite sont prélevées obligatoirement sur le salaire par l’employeur. Elles sont calculées proportionnellement à votre salaire. On verse des cotisations tout au long de sa carrière, et la pension est calculée au moment de la retraite en pourcentage d’un revenu de référence (les 25 meilleures années dans le privé, les 6 derniers mois dans le public).

Il couvre aussi bien, sous des formes différentes :
• les salariés du privé,
• les salariés agricoles,
• les salariés de l’État, des collectivités territoriales et des hôpitaux,
• les salariés des régimes spéciaux (EDF-GDF, SNCF, Banque de France…),
• les non-salariés (exploitants agricoles, commerçants et industriels, artisans, professions libérales, religieux…).

 Pour en savoir plus : Comment fonctionne le système de retraite par répartition ? – Dessine moi l’éco (dessinemoileco.com)

2. Le régime complémentaire obligatoire (ARRCO – AGIRC)

La complémentaire retraite repose elle aussi sur un système de répartition. Obligatoire, cette retraite complémentaire permet d’augmenter les revenus des salariés une fois la liquidation effectuée. Les cotisations versées pour la retraite complémentaire sont converties en points de retraite. Ces points se cumulent sur un compte ouvert à votre nom au début de votre carrière. Le nombre de points est donc fonction du montant et de la durée de cotisation. A son départ en retraite, l’assuré se voit verser une pension à partir du ” prix de vente ” du point à la date de liquidation mais aussi selon le nombre de points cumulés au terme de sa carrière.

  • pour les salariés, le régime de base et le régime complémentaire sont gérés par deux organismes distincts voire trois pour les cadres
  • pour les non-salariés, la même caisse gère souvent le régime de base et le régime complémentaire. 

Pour en savoir plus : Comprendre ma retraite – Agirc-Arrco

3. Epargne retraite supplémentaire facultative

Les régimes facultatifs fonctionnent par capitalisation (les cotisations versées sont placées et restituées sous forme de rente au moment de la retraite).

C’est auprès de son entreprise que l’assuré pourra se renseigner afin de bénéficier le cas échéant de ce « complément retraite », il n’est cependant pas obligatoire pour l’employeur de proposer ce type de retraite dite supplémentaire.

Selon la convention collective de l’entreprise, ces régimes sont soit facultatifs, soit obligatoires.

Leur gestion doit être confiée à un organisme extérieur comme une société d’assurances, un établissement bancaire ou encore une institution de prévoyance.

Les salariés des entreprises dépourvues de compte épargne-temps (CET) peuvent verser les sommes correspondant à des congés non pris vers un régime de retraite supplémentaire collectif et obligatoire, dont le PERCO. L’épargne retraite supplémentaire connait un fort développement depuis la création du PER (Plan d’Epargne Retraite) dans la cadre de la loi Pacte.

Le financement du systeme de retraite actuel

Notre système de retraite repose sur le principe de la répartition : les actifs ayant un emploi versent des cotisations à une caisse de retraite qui les utilise immédiatement pour payer les pensions des retraités actuels.

Par exemple, les salariés du privé, qui représentent environ 2/3 des actifs, cotisent obligatoirement auprès de la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse (CNAV) pour la retraite de base. Ils doivent également cotiser auprès d’organismes de retraite complémentaire : l’Arrco et l’Agirc.

L’équilibre financier de la CNAV est fragile, car il dépend du rapport entre le nombre de cotisants et le nombre de retraités.

Or, depuis 1975, le nombre de retraités augmente plus vite que le nombre de cotisants : on est passé de 3 cotisants pour un retraité à actuellement 1,4 cotisant pour un retraité.

Pour équilibrer les comptes de la CNAV, 3 solutions principales existent et peuvent être combinées :

  • Augmenter les cotisations : ce qui implique de baisser les salaires nets des actifs.
  • Baisser les pensions de retraite : elles évoluent aujourd’hui chaque année en fonction des prix mais, à l’avenir, elles pourraient rester fixes.
  • Faire en sorte que les actifs travaillent plus longtemps et donc cotisent plus longtemps : pour cela, on ajuste l’âge légal de départ à la retraite et/ou la durée de cotisation. L’âge légal pour avoir le droit de partir à la retraite est aujourd’hui fixé à 62 ans, à l’exception de ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans, ou qui ont un métier pénible. La réforme 2013 stipule que la durée de cotisation, actuellement de 41 ans ½ (soit 166 trimestres), augmentera d’un trimestre tous les 3 ans pour arriver à 43 ans en 2035. Ce n’est qu’au terme de cette durée que les salariés peuvent bénéficier d’une retraite de base à taux plein, c’est-à-dire avec un taux de 50 %.

Exemple d’un salarié qui a cotisé durant 166 trimestres : on fait la moyenne de ses 25 meilleures années de salaire que l’on multiplie par 50 %. Puis on multiplie le résultat obtenu par le nombre de trimestres qu’il a cotisé, divisé par le nombre de trimestres qu’il faut avoir cotisé. Ce montant est ensuite complété par les organismes de retraite complémentaire

Pour en savoir plus : La retraite, comment ça marche ? – YouTube

 

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